///°°°°Qualif. Euro 2009 - Equipe de France, chantier en cours°°°°\\\
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///°°°°Qualif. Euro 2009 - Equipe de France, chantier en cours°°°°\
La défaite de l'équipe de France samedi en Ukraine (78-77) a mis en lumière ses carences dans les qualifications à l'Euro 2009 avant un troisième match qui, à défaut d'être décisif, doit signifier un progrès mercredi face à la Turquie à Istanbul. Etat des lieux....
LA SITUATION
Avec une victoire pour une défaite, les Bleus se retrouvent dans une situation qui n'est pas encore alarmante mais néanmoins inconfortable. "Ce n'est pas la fin du monde mais une deuxième victoire, ça aurait été parfait", résume Ronny Turiaf. En cas de succès mercredi contre la Turquie, les Français reprendraient la main. Mais c'est loin d'être gagné face à leur principal adversaire de la poule, souvent survolté devant son public. "Ce sera très dur car ils sont extrêmement physiques" , prévient le sélectionneur Michel Gomez, même si Parker estime qu'Istanbul offre le "contexte idéal pour se relancer".
En cas de défaite, rien ne serait perdu. Mais cela obligerait sans doute les Bleus à remporter leurs trois matches retour pour viser au moins une des trois places de meilleure deuxième. "Il reste quatre matches et on va les prendre de très haut", promet Turiaf, qui espère que le revers ukrainien servira à "resserrer les lignes et à vraiment lancer le groupe".
. UN JEU À PEAUFINER
Cela passe d'abord par un progrès dans le jeu qui s'est délité au fil des minutes samedi, surtout en défense. "On a été mangés" , déplore Gomez. Un constat qui n'est pas tellement étonnant pour une équipe qui n'a qu'un été de vécu en commun et qui manque singulièrement d'automatismes. Si offensivement Gomez se dit satisfait, les ailiers restent en souffrance, à l'image de Yakhouba Diawara et Tariq Kirksay, qui n'ont marqué que sept points à eux deux. "C'est clair qu'avec Tariq on n'a pas été très impliqués dans cette partie", avoue Diawara. "Le Yak doit nous apporter plus ", souligne Gomez, qui se veut toutefois confiant: "Tariq va venir" . Le jeu français a également manqué de variation en deuxième mi-temps, où les intérieurs ont été sevrés de ballon. "On voulait mettre les extérieurs dans le rythme mais ça n'a pas trop marché , glisse Parker. Il aurait fallu mettre le ballon plus à l'intérieur où on a un peu oublié Ronny (Turiaf)". Celui-ci appelle surtout à ce que tout le monde tire dans le même sens. "C'est comme pour les loups, si on est en meute, on défonce tout le monde."
. LE CAS PARKER
Les premiers jours de compétition ont été agités pour Tony Parker. Arrivé il y a deux semaines dans la peau du sauveur, il n'a pas vraiment apprécié d'être exclu du cinq de départ mercredi face à la Belgique. Après une discussion à Kiev avec Gomez, celui-ci lui a proposé un marché étonnant: qu'il choisisse en tant que capitaine trois joueurs qui allaient être les "leaders de jeu de l'équipe", soit Parker, Turiaf et De Colo. Une sorte d'autogestion que Gomez compte appliquer pendant toute la campagne. "Le problème est réglé", assure Parker. Sauf qu'il a été remplacé par un autre souci, déjà visible par le passé: une tendance à trop se reposer, en fin de match surtout, sur le seul triple champion NBA, auteur de 30 points samedi. "J'ai dit aux gars que Tony est là pour nous aider mais qu'il faut aussi qu'on l'accompagne. Il faut que d'autres joueurs prennent leurs responsabilités", martèle Gomez. L'escale de Parker à Paris ne tombe pas forcément à pic dans cette optique. Même si l'équipe de France peut déjà s'estimer heureuse de pouvoir compter sur lui pour cette campagne.
LA SITUATION
Avec une victoire pour une défaite, les Bleus se retrouvent dans une situation qui n'est pas encore alarmante mais néanmoins inconfortable. "Ce n'est pas la fin du monde mais une deuxième victoire, ça aurait été parfait", résume Ronny Turiaf. En cas de succès mercredi contre la Turquie, les Français reprendraient la main. Mais c'est loin d'être gagné face à leur principal adversaire de la poule, souvent survolté devant son public. "Ce sera très dur car ils sont extrêmement physiques" , prévient le sélectionneur Michel Gomez, même si Parker estime qu'Istanbul offre le "contexte idéal pour se relancer".
En cas de défaite, rien ne serait perdu. Mais cela obligerait sans doute les Bleus à remporter leurs trois matches retour pour viser au moins une des trois places de meilleure deuxième. "Il reste quatre matches et on va les prendre de très haut", promet Turiaf, qui espère que le revers ukrainien servira à "resserrer les lignes et à vraiment lancer le groupe".
. UN JEU À PEAUFINER
Cela passe d'abord par un progrès dans le jeu qui s'est délité au fil des minutes samedi, surtout en défense. "On a été mangés" , déplore Gomez. Un constat qui n'est pas tellement étonnant pour une équipe qui n'a qu'un été de vécu en commun et qui manque singulièrement d'automatismes. Si offensivement Gomez se dit satisfait, les ailiers restent en souffrance, à l'image de Yakhouba Diawara et Tariq Kirksay, qui n'ont marqué que sept points à eux deux. "C'est clair qu'avec Tariq on n'a pas été très impliqués dans cette partie", avoue Diawara. "Le Yak doit nous apporter plus ", souligne Gomez, qui se veut toutefois confiant: "Tariq va venir" . Le jeu français a également manqué de variation en deuxième mi-temps, où les intérieurs ont été sevrés de ballon. "On voulait mettre les extérieurs dans le rythme mais ça n'a pas trop marché , glisse Parker. Il aurait fallu mettre le ballon plus à l'intérieur où on a un peu oublié Ronny (Turiaf)". Celui-ci appelle surtout à ce que tout le monde tire dans le même sens. "C'est comme pour les loups, si on est en meute, on défonce tout le monde."
. LE CAS PARKER
Les premiers jours de compétition ont été agités pour Tony Parker. Arrivé il y a deux semaines dans la peau du sauveur, il n'a pas vraiment apprécié d'être exclu du cinq de départ mercredi face à la Belgique. Après une discussion à Kiev avec Gomez, celui-ci lui a proposé un marché étonnant: qu'il choisisse en tant que capitaine trois joueurs qui allaient être les "leaders de jeu de l'équipe", soit Parker, Turiaf et De Colo. Une sorte d'autogestion que Gomez compte appliquer pendant toute la campagne. "Le problème est réglé", assure Parker. Sauf qu'il a été remplacé par un autre souci, déjà visible par le passé: une tendance à trop se reposer, en fin de match surtout, sur le seul triple champion NBA, auteur de 30 points samedi. "J'ai dit aux gars que Tony est là pour nous aider mais qu'il faut aussi qu'on l'accompagne. Il faut que d'autres joueurs prennent leurs responsabilités", martèle Gomez. L'escale de Parker à Paris ne tombe pas forcément à pic dans cette optique. Même si l'équipe de France peut déjà s'estimer heureuse de pouvoir compter sur lui pour cette campagne.
Re: ///°°°°Qualif. Euro 2009 - Equipe de France, chantier en cours°°°°\\\
comme je lai tjr di t un fan du basket :d .
Re: ///°°°°Qualif. Euro 2009 - Equipe de France, chantier en cours°°°°\\\
Bah wé c évident...puisq sans lui...il sera que 3 sujet de "SPORT DU MONDE".
Merci bcp SilverhiM
Merci bcp SilverhiM
plata_gladiador- Moderateur
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Date d'inscription : 07/10/2008
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