UNE EQUIPE PLUS FORTE ET COMPLEMENTAIRE
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UNE EQUIPE PLUS FORTE ET COMPLEMENTAIRE
Après huit années de disette, les basketteurs américains ont retrouvé le toit du monde en remportant la médaille d'or olympique dimanche à Pékin et cela ne doit rien au hasard.
UNE EQUIPE PLUS FORTE ET COMPLEMENTAIRE:
Avec le retour de Jason Kidd, dernier rescapé de Sydney, et l'arrivée de Kobe Bryant, l'équipe a reçu des renforts de choix. "Jason a été un guide et tout le monde connaît le facteur décisif que peut être Kobe", souligne l'entraîneur Mike Krzyzewski. Quant aux damnés d'Athènes comme Carmelo Anthony, LeBron James et Dwayne Wade, ils ont beaucoup appris en quatre ans. L'ensemble donne un groupe expérimenté et cohérent. "LeBron notamment a pris une dimension incroyable", selon "coach K". Encore fallait-il arriver à faire jouer tout ce joli monde ensemble.
. UNE SOLIDARITE NOUVELLE
Alors que les précédentes équipes US s'étaient fait remarquer par leur nombrilisme, la cuvée 2008 a montré un sens collectif inédit. "On dit toujours que les joueurs NBA sont égoïstes, arrogants, individualistes. Eh bien, on a prouvé le contraire", souligne Bryant. "On a mis nos ego de côté, abonde Dwight Howard. On joue pour notre pays et pas pour Dwight Howard ou Kobe Bryant." Une attitude qui a été déterminante en fin de match face à l'Espagne où les joueurs US ont, contrairement au passé, refusé les solutions individuelles pour continuer à respecter leur plan de jeu.
. UNE PREPARATION SERIEUSE
Jusqu'en 2004, l'équipe américaine était un conglomérat de stars qui, après quelques entraînements lapidaires, s'en allait conquérir le monde. A Athènes, ils ont vu que ça ne suffisait plus face à une concurrence en net progrès. D'où la mise en place d'un programme sur trois ans pour dégager un groupe élargi mais constant de 24 joueurs et lui apprendre à jouer ensemble et à comprendre le contexte international. Stages, visionnage vidéo, recours à des arbitres pour apprivoiser les règles Fiba... une politique payante.
. L'IMPLICATION DES JOUEURS
Durant ces trois ans, aucun des joueurs majeurs n'a sauté du wagon pour privilégier son destin personnel. "Après 2004, on s'était réunis pour s'engager à fond dans cette aventure. On y a consacré du temps, notre coeur", commente LeBron James. "Ces trois années ont été essentielles pour apprendre à se connaître", ajoute Dwayne Wade. Un facteur décisif qui devrait durer. "Cinq ou six joueurs m'ont déjà dit qu'ils allaient repartir sur un nouveau cycle", glisse le manager du Team USA, Jerry Colangelo.
. UN ESPRIT DE REVANCHE
"On sentait qu'ils prenaient ce tournoi très au sérieux, qu'ils avaient faim", témoigne l'Espagnol Pau Gasol. A la base de l'implication des joueurs US: l'envie de faire taire les mauvaises langues et une réelle motivation de réussir avec l'équipe nationale. "Gagner les JO est plus fort qu'un titre NBA", dit ainsi LeBron James. Une phrase qui n'allait pas de soi il y a quelques années. Trois cuisants échecs ont été nécessaires pour que les Américains réapprennent à savourer des succès qui coulaient de source. "Ce qui se passe ici dépasse nos cas individuels", résume Bryant.
. L'ENTRAINEUR ADEQUAT
Issu du monde universitaire, Mike Krzyzewski était sans doute l'homme qu'il fallait pour mener l'opération à bon terme. "Le jeu international est différent mais magnifique", se plaît à dire "coach K" dans un discours qui tranche avec celui d'anciens joueurs US comme Tim Duncan qui avait lancé un définitif "Fiba sucks" (la Fiba c'est de la m...) à Athènes. Krzyzewski a tout de suite compris l'importance de s'adapter à un jeu différent. Il a également placé la défense au coeur de son travail. "C'est très motivant de travailler avec coach K, dit Chris Paul. A vec lui, on savait ce qu'il fallait faire pour renouer avec le succès."
UNE EQUIPE PLUS FORTE ET COMPLEMENTAIRE:
Avec le retour de Jason Kidd, dernier rescapé de Sydney, et l'arrivée de Kobe Bryant, l'équipe a reçu des renforts de choix. "Jason a été un guide et tout le monde connaît le facteur décisif que peut être Kobe", souligne l'entraîneur Mike Krzyzewski. Quant aux damnés d'Athènes comme Carmelo Anthony, LeBron James et Dwayne Wade, ils ont beaucoup appris en quatre ans. L'ensemble donne un groupe expérimenté et cohérent. "LeBron notamment a pris une dimension incroyable", selon "coach K". Encore fallait-il arriver à faire jouer tout ce joli monde ensemble.
. UNE SOLIDARITE NOUVELLE
Alors que les précédentes équipes US s'étaient fait remarquer par leur nombrilisme, la cuvée 2008 a montré un sens collectif inédit. "On dit toujours que les joueurs NBA sont égoïstes, arrogants, individualistes. Eh bien, on a prouvé le contraire", souligne Bryant. "On a mis nos ego de côté, abonde Dwight Howard. On joue pour notre pays et pas pour Dwight Howard ou Kobe Bryant." Une attitude qui a été déterminante en fin de match face à l'Espagne où les joueurs US ont, contrairement au passé, refusé les solutions individuelles pour continuer à respecter leur plan de jeu.
. UNE PREPARATION SERIEUSE
Jusqu'en 2004, l'équipe américaine était un conglomérat de stars qui, après quelques entraînements lapidaires, s'en allait conquérir le monde. A Athènes, ils ont vu que ça ne suffisait plus face à une concurrence en net progrès. D'où la mise en place d'un programme sur trois ans pour dégager un groupe élargi mais constant de 24 joueurs et lui apprendre à jouer ensemble et à comprendre le contexte international. Stages, visionnage vidéo, recours à des arbitres pour apprivoiser les règles Fiba... une politique payante.
. L'IMPLICATION DES JOUEURS
Durant ces trois ans, aucun des joueurs majeurs n'a sauté du wagon pour privilégier son destin personnel. "Après 2004, on s'était réunis pour s'engager à fond dans cette aventure. On y a consacré du temps, notre coeur", commente LeBron James. "Ces trois années ont été essentielles pour apprendre à se connaître", ajoute Dwayne Wade. Un facteur décisif qui devrait durer. "Cinq ou six joueurs m'ont déjà dit qu'ils allaient repartir sur un nouveau cycle", glisse le manager du Team USA, Jerry Colangelo.
. UN ESPRIT DE REVANCHE
"On sentait qu'ils prenaient ce tournoi très au sérieux, qu'ils avaient faim", témoigne l'Espagnol Pau Gasol. A la base de l'implication des joueurs US: l'envie de faire taire les mauvaises langues et une réelle motivation de réussir avec l'équipe nationale. "Gagner les JO est plus fort qu'un titre NBA", dit ainsi LeBron James. Une phrase qui n'allait pas de soi il y a quelques années. Trois cuisants échecs ont été nécessaires pour que les Américains réapprennent à savourer des succès qui coulaient de source. "Ce qui se passe ici dépasse nos cas individuels", résume Bryant.
. L'ENTRAINEUR ADEQUAT
Issu du monde universitaire, Mike Krzyzewski était sans doute l'homme qu'il fallait pour mener l'opération à bon terme. "Le jeu international est différent mais magnifique", se plaît à dire "coach K" dans un discours qui tranche avec celui d'anciens joueurs US comme Tim Duncan qui avait lancé un définitif "Fiba sucks" (la Fiba c'est de la m...) à Athènes. Krzyzewski a tout de suite compris l'importance de s'adapter à un jeu différent. Il a également placé la défense au coeur de son travail. "C'est très motivant de travailler avec coach K, dit Chris Paul. A vec lui, on savait ce qu'il fallait faire pour renouer avec le succès."
Re: UNE EQUIPE PLUS FORTE ET COMPLEMENTAIRE
merci mon ami c'ést formidable avec usa
kyamine- Membre Super
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Date d'inscription : 29/08/2008
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