Premier League - Rooney est diabolique
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Premier League - Rooney est diabolique
Auteur de neuf buts lors de ses sept derniers matches, Wayne Rooney est sur une autre planète. L'international anglais a gagné en maturité et s'entend à merveille avec son nouveau partenaire, Dimitar Berbatov. Cerise sur le gâteau, il pourrait inscrire son 100e but en club, samedi à... Everton
Le cadeau d'anniversaire a des chances d'arriver avec vingt-quatre heures de retard. Mais Wayne Rooney, 23 ans ce vendredi, ne va pas s'en plaindre. L'international anglais de Manchester United a l'occasion rêvée de souffler ses vingt-trois bougies à Goodison Park, samedi. Là où tout a commencé. Pour que la petite "party" soit une réussite totale, il faudrait que Rooney trouve le chemin des filets face à l'équipe de ses débuts. Cela permettrait au jeune Mancunien d'atteindre la barre des cent buts inscrits en club depuis le début de sa carrière*. "Ça serait spécial de réussir ça à Everton. Cela serait vraiment un moment délicieux", a-t-il malicieusement confié dans les colonnes du Guardian.
Les supporters de l'autre club de Liverpool ne voient pas la chose de la même façon. Mais il va leur être difficile d'éviter ce qui semble presque gravé dans le marbre. Et pour cause, depuis quelques semaines, Wayne Rooney est tout bonnement "injouable" selon Gordon Strachan, dont l'équipe, le Celtic Glasgow, a eu le malheur de croiser la route du rouquin mardi en Ligue des Champions (3-0). Comme les autres entraîneurs qui ont affronté Manchester United ou l'Angleterre ces derniers temps, l'Ecossais n'a pu enrayer la course folle de l'international aux 19 buts en 48 sélections.
"Je n'aime pas m'asseoir sur le banc"
Auteur de neuf buts lors de ses sept derniers matches toutes compétitions confondues, Wayne Rooney est actuellement dans la forme de sa vie. Alors que Cristiano Ronaldo était la locomotive des Red Devils la saison dernière, le natif de Liverpool a repris le flambeau. Et si l'on en croit Sir Alex Ferguson, "Roonaldo", comme il fut surnommé dès l'Euro 2004, n'est encore qu'au pied d'une pente qui doit l'entraîner vers les sommets. "Les joueurs n'atteignent leur pleine maturité que vers 25 ans", juge le technicien écossais, qui le dirige depuis maintenant quatre ans et ne cesse de le conseiller.
Cette saison, Ferguson a demandé à son joueur d'évoluer dans son jeu et de passer plus de temps dans la surface de réparation adverse. "Je commence à jouer un peu plus haut sur le terrain", reconnait celui qui ne se définit pas comme un simple buteur même s'il revendique désormais un positionnement axial. Arrivé à la tête de la sélection anglaise l'an dernier, Fabio Capello a également ajouté sa pierre à l'édifice. "Quand j'ai pris le poste, je lui ai dit qu'il était techniquement très bon. Mais face au but, parfois, il se précipite. Il doit être plus patient, comprendre ce qu'il se passe autour de lui. Alors, il marquera plus." Fabio Capello avait vu juste.
Ce qu'il n'avait pas prédit, c'est que Wayne Rooney trouverait en Dimitar Berbatov un partenaire de choix. Le Bulgare, arrivé à la fin du mercato estival, et l'Anglais s'entendent comme deux larrons en foire. Aussi, l'arrivée de l'ancien Spur de Tottenham, conjuguée à la présence dans l'effectif des Red Devils de Carlos Tevez ou de Cristiano Ronaldo, pousse le numéro 10 de Manchester United à en donner toujours plus. "Ma place dans l'équipe n'est absolument pas garantie. Et je n'aime pas m'asseoir sur le banc. Je dois donc prouver quelque chose à chaque match." Imparable. Comme ses frappes.
Le cadeau d'anniversaire a des chances d'arriver avec vingt-quatre heures de retard. Mais Wayne Rooney, 23 ans ce vendredi, ne va pas s'en plaindre. L'international anglais de Manchester United a l'occasion rêvée de souffler ses vingt-trois bougies à Goodison Park, samedi. Là où tout a commencé. Pour que la petite "party" soit une réussite totale, il faudrait que Rooney trouve le chemin des filets face à l'équipe de ses débuts. Cela permettrait au jeune Mancunien d'atteindre la barre des cent buts inscrits en club depuis le début de sa carrière*. "Ça serait spécial de réussir ça à Everton. Cela serait vraiment un moment délicieux", a-t-il malicieusement confié dans les colonnes du Guardian.
Les supporters de l'autre club de Liverpool ne voient pas la chose de la même façon. Mais il va leur être difficile d'éviter ce qui semble presque gravé dans le marbre. Et pour cause, depuis quelques semaines, Wayne Rooney est tout bonnement "injouable" selon Gordon Strachan, dont l'équipe, le Celtic Glasgow, a eu le malheur de croiser la route du rouquin mardi en Ligue des Champions (3-0). Comme les autres entraîneurs qui ont affronté Manchester United ou l'Angleterre ces derniers temps, l'Ecossais n'a pu enrayer la course folle de l'international aux 19 buts en 48 sélections.
"Je n'aime pas m'asseoir sur le banc"
Auteur de neuf buts lors de ses sept derniers matches toutes compétitions confondues, Wayne Rooney est actuellement dans la forme de sa vie. Alors que Cristiano Ronaldo était la locomotive des Red Devils la saison dernière, le natif de Liverpool a repris le flambeau. Et si l'on en croit Sir Alex Ferguson, "Roonaldo", comme il fut surnommé dès l'Euro 2004, n'est encore qu'au pied d'une pente qui doit l'entraîner vers les sommets. "Les joueurs n'atteignent leur pleine maturité que vers 25 ans", juge le technicien écossais, qui le dirige depuis maintenant quatre ans et ne cesse de le conseiller.
Cette saison, Ferguson a demandé à son joueur d'évoluer dans son jeu et de passer plus de temps dans la surface de réparation adverse. "Je commence à jouer un peu plus haut sur le terrain", reconnait celui qui ne se définit pas comme un simple buteur même s'il revendique désormais un positionnement axial. Arrivé à la tête de la sélection anglaise l'an dernier, Fabio Capello a également ajouté sa pierre à l'édifice. "Quand j'ai pris le poste, je lui ai dit qu'il était techniquement très bon. Mais face au but, parfois, il se précipite. Il doit être plus patient, comprendre ce qu'il se passe autour de lui. Alors, il marquera plus." Fabio Capello avait vu juste.
Ce qu'il n'avait pas prédit, c'est que Wayne Rooney trouverait en Dimitar Berbatov un partenaire de choix. Le Bulgare, arrivé à la fin du mercato estival, et l'Anglais s'entendent comme deux larrons en foire. Aussi, l'arrivée de l'ancien Spur de Tottenham, conjuguée à la présence dans l'effectif des Red Devils de Carlos Tevez ou de Cristiano Ronaldo, pousse le numéro 10 de Manchester United à en donner toujours plus. "Ma place dans l'équipe n'est absolument pas garantie. Et je n'aime pas m'asseoir sur le banc. Je dois donc prouver quelque chose à chaque match." Imparable. Comme ses frappes.
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