Ligue 1 - Makelele : "Laisser du temps"
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Ligue 1 - Makelele : "Laisser du temps"
Remis de sa blessure à une cuisse, Claude Makelele évoque le PSG avant la réception de Lorient samedi, lors de la 9e journée de Ligue 1. Le milieu parisien estime notamment qu'il faut être patient avec cette équipe. Et se projette vers le choc face à Marseille, la semaine prochaine.
CLAUDE MAKELELE, comment allez-vous après votre blessure à une cuisse ?
C.M. : Ça va mieux. Ça fait une bonne semaine que je travaille bien. Je suis content, je ne ressens rien et je suis à la disposition de l'entraineur. C'est satisfaisant pour la suite. Je n'ai pas participé à la petite opposition jeudi, mais c'est parce qu'on est à 48 heures du match face à Lorient et que je dois me préserver.
Avez-vous été frustré par cette blessure ?
C.M. : Oui, c'est sûr. Tout joueur blessé n'aime pas rester longtemps loin des terrains. C'était mon cas. C'était gênant parce que je me sentais incapable d'aider l'équipe. Mais c'est aussi bien que l'équipe sache se gérer sans certains joueurs. Ils ont démontré pas mal de qualité, ce qui est très bon pour la suite. Quand on aura récupéré tout le monde, on sera de mieux en mieux. Je ne suis pas inquiet, au contraire. Je suis plutôt optimiste pour l'avenir.
Quelle a été votre attitude par rapport au vestiaire pendant cette blessure ?
C.M. : J'ai fait comme depuis le début de la saison. J'ai essayé d'être présent. C'est important de participer, même pour ceux qui ne jouent pas ou qui sont blessés. Il faut rester proche et garder cette entente qui fait l'état d'esprit du groupe. Il y a une vraie solidarité entre nous, que ce soit dans le vestiaire, pendant les entrainements ou les matches. Tant qu'on préservera tout ça, ce sera bien pour l'avenir.
Comment avez-vous vécu les éloges de vos coéquipiers depuis le début de la saison ?
C.M. : Je ne fais pas attention à cela. Ça fait toujours plaisir, mais ce n'est pas mon objectif. Je veux être performant, que eux soient performants... Ça n'a jamais changé. Mais c'est toujours agréable d'entendre ça de la part des coéquipiers, je ferais pareil pour eux.
Ils disent que vous avez apporté beaucoup, notamment votre culture de la gagne...
C.M. : Non, je pense qu'ils l'avaient déjà. Après, il faut qu'on y croit un peu plus. Notamment au niveau de l'attitude, c'est le plus important. Il y aura toujours plus fort que nous, on perdra des matches, on en gagnera, ce n'est pas le problème. Mais il faut toujours être conquérant, aller de l'avant et continuer à partager les mêmes ambitions. C'est faire mieux que l'an passé, dans de bonnes conditions, prendre du plaisir. Et gagner nos matches à domicile, c'est ça qui nous donnera du positif pour la suite.
Sentez-vous que vous avez encore une grande marge de progression, individuellement parlant ?
C.M. : Oui, c'est sûr que je ne suis pas arrivé dans les meilleures conditions. Mais je ne me remets pas en cause, je ne me suis même pas expliqué par rapport à ça. C'était un investissement personnel. Il fallait que je sois avec le groupe, même dans ces conditions. Cette blessure est arrivée... c'était normal. Mais je ne regrette pas parce que c'était important d'être là.
Quel bilan tirez-vous de vos trois premiers mois avec le Paris Saint-Germain ?
C.M. : Je n'entends que du négatif ! Comme je le dis depuis le début, on a une grande marge de progression, on sait quel potentiel on a. On est capables de faire de bonnes choses et de moins bonnes. Mais je suis très confiant pour l'avenir, et surtout pour la fin de saison.
Y a-t-il des choses qui vous surprennent dans ce que vous avez découvert au PSG ?
C.M. : Chaque club est différent ! Il y a des choses qui m'ont surpris dans d'autres clubs aussi. Dans le football, il y a toujours des surprises. Mais c'est un club très sain au niveau du groupe, et c'est le plus important car c'est sur le terrain que tout se joue. Tant que nous serons bien, le reste suivra.
Est-ce que vous retenez du négatif dans ce début de saison ?
C.M. : Non. Le groupe commence à se forger un caractère. Malgré tout ce qui est arrivé, tout le monde est resté concentré. Les joueurs sont travailleurs, disciplinés, et ce sont des qualités qui ne cachent rien. En tant que capitaine, c'est très satisfaisant pour la suite. Je ne suis pas inquiet.
Personnellement, à quel niveau êtes-vous de vos possibilités ?
C.M. : Il y a une grande marge... je suis en progression. Je vais amener un peu plus en prenant du rythme, au fur et à mesure des matches. J'aimerais arriver à un niveau physique important pour être plus efficace. Après ça va dépendre des entrainements et de la compétition. Je suis à la disposition de l'entraineur pour samedi et ce sera à lui de prendre la décision.
Cette méforme physique explique-t-elle le nombre de cartons jaunes que vous avez pris depuis le début de la saison, ou est-ce un problème d'arbitrage ?
C.M. : Non, ce sont simplement des fautes. Je ne regrette rien. Des décisions arbitrales ont été prises, je les ai acceptées. C'est le jeu des milieux de terrain, je ne suis pas le seul à faire beaucoup de fautes. J'ai été sanctionné, mais ça ne me gêne pas du tout. Concernant l'arbitrage, c'est de toute façon différent, que ce soit en Angleterre ou en Espagne. Je dois m'adapter, eux aussi doivent s'adapter. C'est dans les deux sens.
Face à Lorient, aurez-vous une obligation de résultat ?
C.M. : On a une obligation de résultats sur tout le monde. Pour avancer, il faut qu'on gagne. Le meilleur moyen d'aller de l'avant, c'est d'engranger des points à domicile. Donc c'est un match très important, mais ce n'est pas une obligation. Il faut engranger des points pour rester dans notre objectif, revenir dans les dix premiers, donc il faudrait gagner ce match. Mais, encore une fois, ce n'est pas une obligation.
Pour gagner des matches, il faut marquer des buts. Or, le PSG marque peu...
C.M. : Pour moi ce n'est pas essentiel. Qu'on gagne 1-0 ou 7-0, c'est trois points. Le moment viendra quand on gagnera 3-0. Pour l'instant, on peut se contenter de gagner 1-0 et prendre trois points.
Votre président, Charles Villeneuve, veut du beau jeu, lui...
C.M. : L'an dernier, le PSG jouait bien et il était critiqué. Les médias étaient sévères. Là, quand on gagne 1-0, on nous critique en disant qu'il faut qu'on pratique un beau jeu. Pour nous, le but c'est de gagner d'abord. C'est avant tout un état d'esprit. Un président a toujours un discours différent d'un joueur. Je reste un compétiteur et mon premier objectif est de gagner.
Et pensez-vous que le PSG développe un beau jeu, ou capable de gagner ?
C.M. : Oui, je pense. Comme je l'ai dit, on tombera sur plus fort que nous donc on va souffrir face à certaines équipes. Mais on en fera souffrir aussi en développant du beau jeu. On veut faire mieux que l'an dernier, finir dans les dix premiers, et on ne peut pas se permettre de faire du beau jeu comme dans les grands clubs anglais ou espagnols, qui ont les moyens de le faire. On a une équipe en formation, qui essaie de se trouver une identité. Il faut lui laisser du temps.
Y a-t-il trop d'attentes autour du PSG ?
C.M. : Il y a toujours eu trop d'attentes, ça dure depuis des années. C'est bien, ça amène le groupe à être ambitieux. Cette équipe sera une bonne équipe, mais il faut lui laisser du temps. Il ne faut pas être à fond derrière elle car elle peut être affaiblie aussi.
Comment avez-vous réagi aux rumeurs de départ de Paul Le Guen ?
C.M. : On a un entraineur qui fait du bon boulot, et on est tous derrière lui. En tant que joueur, ça ne me pose pas de problème de travailler avec Paul. Il est là depuis un moment, il a la confiance des joueurs, celle du groupe. Il pratique un jeu intéressant pour l'avenir du PSG. On ne fait pas trop attention à ce genre de choses.
Vous revenez à temps pour le Clasico face à Marseille la semaine prochaine. Cette rencontre évoque-t-elle quelque chose pour vous ?
C.M. : C'est un match qui représente trois points. Je préfère gagner 17 matches derrière et puis peut-être perdre celui-là. Moi ça ne me posera pas de problème parce qu'on aura beaucoup plus de points et qu'on sera peut-être devant eux. Après ça reste un classique, c'est sûr.
Il pourrait ne pas avoir lieu en raison de la menace de grève des joueurs. Quelle est votre position ?
C.M. : On est solidaires entre joueurs. On doit prendre ça au sérieux, les présidents aussi. On veut continuer à aller dans le bon sens avec eux. Ce serait dommage qu'il y ait grève, mais je pense que les deux parties sont assez intelligentes pour faire la part des choses et qu'il n'y ait pas ce genre de confrontations.
Pour vous qui avez eu une grande et longue carrière, est-ce que cette grève vous concerne vraiment ?
C.M. : Bien sûr que je me sens concerné, parce qu'il y a une génération qui arrive derrière. Il faudrait que je sois égoïste, et je ne l'ai jamais été dans ma carrière. Il faut protéger cette génération, pour qu'elle évolue dans de bonnes conditions. La richesse, la qualité des jeunes Français reposent sur la formation et beaucoup de gens travaillent pour ça depuis longtemps. Et ce serait du gâchis de laisser ça à l'abandon.
CLAUDE MAKELELE, comment allez-vous après votre blessure à une cuisse ?
C.M. : Ça va mieux. Ça fait une bonne semaine que je travaille bien. Je suis content, je ne ressens rien et je suis à la disposition de l'entraineur. C'est satisfaisant pour la suite. Je n'ai pas participé à la petite opposition jeudi, mais c'est parce qu'on est à 48 heures du match face à Lorient et que je dois me préserver.
Avez-vous été frustré par cette blessure ?
C.M. : Oui, c'est sûr. Tout joueur blessé n'aime pas rester longtemps loin des terrains. C'était mon cas. C'était gênant parce que je me sentais incapable d'aider l'équipe. Mais c'est aussi bien que l'équipe sache se gérer sans certains joueurs. Ils ont démontré pas mal de qualité, ce qui est très bon pour la suite. Quand on aura récupéré tout le monde, on sera de mieux en mieux. Je ne suis pas inquiet, au contraire. Je suis plutôt optimiste pour l'avenir.
Quelle a été votre attitude par rapport au vestiaire pendant cette blessure ?
C.M. : J'ai fait comme depuis le début de la saison. J'ai essayé d'être présent. C'est important de participer, même pour ceux qui ne jouent pas ou qui sont blessés. Il faut rester proche et garder cette entente qui fait l'état d'esprit du groupe. Il y a une vraie solidarité entre nous, que ce soit dans le vestiaire, pendant les entrainements ou les matches. Tant qu'on préservera tout ça, ce sera bien pour l'avenir.
Comment avez-vous vécu les éloges de vos coéquipiers depuis le début de la saison ?
C.M. : Je ne fais pas attention à cela. Ça fait toujours plaisir, mais ce n'est pas mon objectif. Je veux être performant, que eux soient performants... Ça n'a jamais changé. Mais c'est toujours agréable d'entendre ça de la part des coéquipiers, je ferais pareil pour eux.
Ils disent que vous avez apporté beaucoup, notamment votre culture de la gagne...
C.M. : Non, je pense qu'ils l'avaient déjà. Après, il faut qu'on y croit un peu plus. Notamment au niveau de l'attitude, c'est le plus important. Il y aura toujours plus fort que nous, on perdra des matches, on en gagnera, ce n'est pas le problème. Mais il faut toujours être conquérant, aller de l'avant et continuer à partager les mêmes ambitions. C'est faire mieux que l'an passé, dans de bonnes conditions, prendre du plaisir. Et gagner nos matches à domicile, c'est ça qui nous donnera du positif pour la suite.
Sentez-vous que vous avez encore une grande marge de progression, individuellement parlant ?
C.M. : Oui, c'est sûr que je ne suis pas arrivé dans les meilleures conditions. Mais je ne me remets pas en cause, je ne me suis même pas expliqué par rapport à ça. C'était un investissement personnel. Il fallait que je sois avec le groupe, même dans ces conditions. Cette blessure est arrivée... c'était normal. Mais je ne regrette pas parce que c'était important d'être là.
Quel bilan tirez-vous de vos trois premiers mois avec le Paris Saint-Germain ?
C.M. : Je n'entends que du négatif ! Comme je le dis depuis le début, on a une grande marge de progression, on sait quel potentiel on a. On est capables de faire de bonnes choses et de moins bonnes. Mais je suis très confiant pour l'avenir, et surtout pour la fin de saison.
Y a-t-il des choses qui vous surprennent dans ce que vous avez découvert au PSG ?
C.M. : Chaque club est différent ! Il y a des choses qui m'ont surpris dans d'autres clubs aussi. Dans le football, il y a toujours des surprises. Mais c'est un club très sain au niveau du groupe, et c'est le plus important car c'est sur le terrain que tout se joue. Tant que nous serons bien, le reste suivra.
Est-ce que vous retenez du négatif dans ce début de saison ?
C.M. : Non. Le groupe commence à se forger un caractère. Malgré tout ce qui est arrivé, tout le monde est resté concentré. Les joueurs sont travailleurs, disciplinés, et ce sont des qualités qui ne cachent rien. En tant que capitaine, c'est très satisfaisant pour la suite. Je ne suis pas inquiet.
Personnellement, à quel niveau êtes-vous de vos possibilités ?
C.M. : Il y a une grande marge... je suis en progression. Je vais amener un peu plus en prenant du rythme, au fur et à mesure des matches. J'aimerais arriver à un niveau physique important pour être plus efficace. Après ça va dépendre des entrainements et de la compétition. Je suis à la disposition de l'entraineur pour samedi et ce sera à lui de prendre la décision.
Cette méforme physique explique-t-elle le nombre de cartons jaunes que vous avez pris depuis le début de la saison, ou est-ce un problème d'arbitrage ?
C.M. : Non, ce sont simplement des fautes. Je ne regrette rien. Des décisions arbitrales ont été prises, je les ai acceptées. C'est le jeu des milieux de terrain, je ne suis pas le seul à faire beaucoup de fautes. J'ai été sanctionné, mais ça ne me gêne pas du tout. Concernant l'arbitrage, c'est de toute façon différent, que ce soit en Angleterre ou en Espagne. Je dois m'adapter, eux aussi doivent s'adapter. C'est dans les deux sens.
Face à Lorient, aurez-vous une obligation de résultat ?
C.M. : On a une obligation de résultats sur tout le monde. Pour avancer, il faut qu'on gagne. Le meilleur moyen d'aller de l'avant, c'est d'engranger des points à domicile. Donc c'est un match très important, mais ce n'est pas une obligation. Il faut engranger des points pour rester dans notre objectif, revenir dans les dix premiers, donc il faudrait gagner ce match. Mais, encore une fois, ce n'est pas une obligation.
Pour gagner des matches, il faut marquer des buts. Or, le PSG marque peu...
C.M. : Pour moi ce n'est pas essentiel. Qu'on gagne 1-0 ou 7-0, c'est trois points. Le moment viendra quand on gagnera 3-0. Pour l'instant, on peut se contenter de gagner 1-0 et prendre trois points.
Votre président, Charles Villeneuve, veut du beau jeu, lui...
C.M. : L'an dernier, le PSG jouait bien et il était critiqué. Les médias étaient sévères. Là, quand on gagne 1-0, on nous critique en disant qu'il faut qu'on pratique un beau jeu. Pour nous, le but c'est de gagner d'abord. C'est avant tout un état d'esprit. Un président a toujours un discours différent d'un joueur. Je reste un compétiteur et mon premier objectif est de gagner.
Et pensez-vous que le PSG développe un beau jeu, ou capable de gagner ?
C.M. : Oui, je pense. Comme je l'ai dit, on tombera sur plus fort que nous donc on va souffrir face à certaines équipes. Mais on en fera souffrir aussi en développant du beau jeu. On veut faire mieux que l'an dernier, finir dans les dix premiers, et on ne peut pas se permettre de faire du beau jeu comme dans les grands clubs anglais ou espagnols, qui ont les moyens de le faire. On a une équipe en formation, qui essaie de se trouver une identité. Il faut lui laisser du temps.
Y a-t-il trop d'attentes autour du PSG ?
C.M. : Il y a toujours eu trop d'attentes, ça dure depuis des années. C'est bien, ça amène le groupe à être ambitieux. Cette équipe sera une bonne équipe, mais il faut lui laisser du temps. Il ne faut pas être à fond derrière elle car elle peut être affaiblie aussi.
Comment avez-vous réagi aux rumeurs de départ de Paul Le Guen ?
C.M. : On a un entraineur qui fait du bon boulot, et on est tous derrière lui. En tant que joueur, ça ne me pose pas de problème de travailler avec Paul. Il est là depuis un moment, il a la confiance des joueurs, celle du groupe. Il pratique un jeu intéressant pour l'avenir du PSG. On ne fait pas trop attention à ce genre de choses.
Vous revenez à temps pour le Clasico face à Marseille la semaine prochaine. Cette rencontre évoque-t-elle quelque chose pour vous ?
C.M. : C'est un match qui représente trois points. Je préfère gagner 17 matches derrière et puis peut-être perdre celui-là. Moi ça ne me posera pas de problème parce qu'on aura beaucoup plus de points et qu'on sera peut-être devant eux. Après ça reste un classique, c'est sûr.
Il pourrait ne pas avoir lieu en raison de la menace de grève des joueurs. Quelle est votre position ?
C.M. : On est solidaires entre joueurs. On doit prendre ça au sérieux, les présidents aussi. On veut continuer à aller dans le bon sens avec eux. Ce serait dommage qu'il y ait grève, mais je pense que les deux parties sont assez intelligentes pour faire la part des choses et qu'il n'y ait pas ce genre de confrontations.
Pour vous qui avez eu une grande et longue carrière, est-ce que cette grève vous concerne vraiment ?
C.M. : Bien sûr que je me sens concerné, parce qu'il y a une génération qui arrive derrière. Il faudrait que je sois égoïste, et je ne l'ai jamais été dans ma carrière. Il faut protéger cette génération, pour qu'elle évolue dans de bonnes conditions. La richesse, la qualité des jeunes Français reposent sur la formation et beaucoup de gens travaillent pour ça depuis longtemps. Et ce serait du gâchis de laisser ça à l'abandon.
Re: Ligue 1 - Makelele : "Laisser du temps"
je n'avais aucune idée qu'il souffré de cette blessure...mais pour le texte au début...faudra le selectionner pr le voir......bn MERCI SilverhiM
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Date d'inscription : 07/10/2008
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