((Ligue des Champions - Le Bayern est malade))
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((Ligue des Champions - Le Bayern est malade))
Battu à Hanovre (1-0) et 9e de la Bundesliga, le Bayern est au bord de la crise au moment de recevoir Lyon lors de la 2e journée de la Ligue des Champions, mardi. Le club bavarois affiche des limites inquiétantes, défensivement et offensivement. Malgré le retour de Franck Ribéry.
C'est à un Bayern Munich en plein doute que Lyon rendra visite mardi soir, lors de la 2e journée de la Ligue des Champions. Une réaction du club bavarois était pourtant attendue après l'humiliation subie sur sa pelouse face au Werder Brême (2-5) la semaine passée. Mais la formation de Jürgen Klinsmann a été incapable de venir à bout de Hanovre, qui n'est pas réputé comme un ténor de la Bundesliga. Plus que la défaite (1-0), c'est surtout la manière qui a de quoi inquiéter du côté de Munich. Encore friable en défense, notamment sur les coups de pied arrêtés, le Bayern a aussi affiché des limites offensives surprenantes puisque c'est habituellement son point fort. Arrivé cet été, "Klinsi" a du pain sur la planche. Mais son équipe ne peut plus se permettre d'attendre pour gagner des matches.
La défaite à Hanovre a en effet plongé le club à la neuvième place du classement de la Bundesliga. La situation n'est pas dramatique dans le sens où il n'accuse que cinq longueurs de retard sur le leader, Hambourg. Une bonne série permettrait aux Munichois de revenir assez facilement sur le podium. Mais la confiance pour la réaliser se fait attendre, et le revers subi ce week-end ne va pas arranger les choses. "On n'avait pas besoin de cette défaite", a reconnu Klinsmann. "Elle fait mal cette défaite et elle est tout sauf agréable mais nous allons devoir la digérer. Nous n'avons pas si mal commencé la rencontre (...) mais nous n'avons pas réussi à nous créer de réelles occasions", a ajouté l'entraîneur bavarois.
Rensing dans le collimateur
La rentrée de Franck Ribéry à la mi-temps n'a rien changé. Malgré la présence du Français pour alimenter Miroslav Klose et Luca Toni, meilleure gâchette de la Bundesliga la saison passée avec 24 buts au compteur. En phase de reprise, l'ancien Marseillais n'a pu apporter la créativité et la percussion qui ont fait de lui le meilleur joueur du championnat l'année dernière. Le Bayern attend impatiemment que "Kaiser Franck" retrouve son niveau. Même s'il ne peut pas se permettre de compter trop sur le milieu offensif des Bleus. Parfois stigmatisée l'an dernier, la "Ribéry-dépendance" pourrait être toujours d'actualité du côté de l'Allianz-Arena. Malgré la volonté affichée de Klinsmann pour lutter contre ce phénomène.
Pourtant, ce n'est peut-être pas le souci majeur de l'ancien joueur de Monaco. Si son attaque manque d'efficacité, c'est surtout sa défense qui fait peur. Et notamment le dernier rempart, Michael Rensing. La semaine dernière, l'entraineur du Bayern avait défendu son gardien, cible des critiques des médias allemands après l'humiliation subie face au Werder. "Il n'a aucun souci à se faire. Il a le soutien de toute l'équipe. Le Bayern doit permettre à des joueurs de se développer comme tout autre club", avait-il déclaré. En vain, Rensing a encore affiché toute sa fébrilité sur le but vainqueur de Hanovre et confirme ses difficultés à prendre la succession de l'emblématique Oliver Kahn. Dès mardi, il sera à nouveau mis à contribution lors du rendez-vous face à Lyon en Ligue des Champions. Un match que les Bavarois ont tout intérêt à remporter pour ne pas sombre définitivement dans la crise.
C'est à un Bayern Munich en plein doute que Lyon rendra visite mardi soir, lors de la 2e journée de la Ligue des Champions. Une réaction du club bavarois était pourtant attendue après l'humiliation subie sur sa pelouse face au Werder Brême (2-5) la semaine passée. Mais la formation de Jürgen Klinsmann a été incapable de venir à bout de Hanovre, qui n'est pas réputé comme un ténor de la Bundesliga. Plus que la défaite (1-0), c'est surtout la manière qui a de quoi inquiéter du côté de Munich. Encore friable en défense, notamment sur les coups de pied arrêtés, le Bayern a aussi affiché des limites offensives surprenantes puisque c'est habituellement son point fort. Arrivé cet été, "Klinsi" a du pain sur la planche. Mais son équipe ne peut plus se permettre d'attendre pour gagner des matches.
La défaite à Hanovre a en effet plongé le club à la neuvième place du classement de la Bundesliga. La situation n'est pas dramatique dans le sens où il n'accuse que cinq longueurs de retard sur le leader, Hambourg. Une bonne série permettrait aux Munichois de revenir assez facilement sur le podium. Mais la confiance pour la réaliser se fait attendre, et le revers subi ce week-end ne va pas arranger les choses. "On n'avait pas besoin de cette défaite", a reconnu Klinsmann. "Elle fait mal cette défaite et elle est tout sauf agréable mais nous allons devoir la digérer. Nous n'avons pas si mal commencé la rencontre (...) mais nous n'avons pas réussi à nous créer de réelles occasions", a ajouté l'entraîneur bavarois.
Rensing dans le collimateur
La rentrée de Franck Ribéry à la mi-temps n'a rien changé. Malgré la présence du Français pour alimenter Miroslav Klose et Luca Toni, meilleure gâchette de la Bundesliga la saison passée avec 24 buts au compteur. En phase de reprise, l'ancien Marseillais n'a pu apporter la créativité et la percussion qui ont fait de lui le meilleur joueur du championnat l'année dernière. Le Bayern attend impatiemment que "Kaiser Franck" retrouve son niveau. Même s'il ne peut pas se permettre de compter trop sur le milieu offensif des Bleus. Parfois stigmatisée l'an dernier, la "Ribéry-dépendance" pourrait être toujours d'actualité du côté de l'Allianz-Arena. Malgré la volonté affichée de Klinsmann pour lutter contre ce phénomène.
Pourtant, ce n'est peut-être pas le souci majeur de l'ancien joueur de Monaco. Si son attaque manque d'efficacité, c'est surtout sa défense qui fait peur. Et notamment le dernier rempart, Michael Rensing. La semaine dernière, l'entraineur du Bayern avait défendu son gardien, cible des critiques des médias allemands après l'humiliation subie face au Werder. "Il n'a aucun souci à se faire. Il a le soutien de toute l'équipe. Le Bayern doit permettre à des joueurs de se développer comme tout autre club", avait-il déclaré. En vain, Rensing a encore affiché toute sa fébrilité sur le but vainqueur de Hanovre et confirme ses difficultés à prendre la succession de l'emblématique Oliver Kahn. Dès mardi, il sera à nouveau mis à contribution lors du rendez-vous face à Lyon en Ligue des Champions. Un match que les Bavarois ont tout intérêt à remporter pour ne pas sombre définitivement dans la crise.
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