Qualif. Euro 2009 - Opération survie
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Qualif. Euro 2009 - Opération survie
Obligée de passer par les qualifications pour atteindre l'Euro 2009, l'équipe de France, rassurée par le retour de Tony Parker, est dans l'obligation de réussir sous peine de compromettre son avenir à court et à moyen terme.
A l'heure d'attaquer leur parcours qualificatif mercredi à Nancy face à la Belgique, l'enjeu est tout simplement énorme pour les Bleus, contraints aux travaux forcés après leur huitième place au dernier Championnat d'Europe qui ne les a non seulement privés de JO mais aussi acculés au bord du précipice. Soit ils sortent indemne de ce mois de septembre de tous les dangers qui les oppose en matches aller-retour à la Belgique, l'Ukraine et la Turquie. Soit ils peuvent faire une croix sur toute échéance internationale avant les qualifications à l'Euro... 2011. Et dire adieu au Mondial 2010, pour lequel le Championnat d'Europe polonais (7-20 septembre 2009) est un passage obligé.
Une nuit noire qui serait impensable pour la France et ses dix joueurs NBA, même si l'exemple de l'Italie, mal embarquée dans son groupe de qualifications, montre que le pire n'est jamais très loin. Pour éviter ce cauchemar, les Bleus devront terminer premiers de leur groupe ou être dans les trois meilleurs deuxièmes sur les quatre poules, sachant qu'une troisième place leur offrirait une ultime porte de sortie, en septembre prochain lorsqu'un dernier qualifié sera désigné. Valider son voyage pour la Pologne dès ce mois de septembre est a priori largement dans leurs cordes. La Belgique, privée du Madrilène Axel Hervelle et du pivot NBA Didier Mbenga, ou l'Ukraine n'ont pas à faire peur à une bonne équipe de France. Et même la Turquie n'a rien d'insurmontable, même si le match aller mercredi prochain à Istanbul s'annonce volcanique.
Sauve-qui-peut
Sauf que l'équipe de France n'a, contre son gré, pas mis toutes les chances de son côté lors d'un été qui a commencé sur l'air du "il faut sauver le soldat France" avant de se muer rapidement en un sauve-qui-peut assez impressionnant. Une quinzaine de joueurs majeurs ont ainsi déclaré forfait, laissant longtemps dubitatif quant aux chances de réussite de l'opération commando initiée par le sélectionneur Michel Gomez, parti à son premier stage à Vichy avec des joueurs exclusivement issus du Championnat de France. Les premiers matches amicaux n'ont rien fait pour calmer l'angoisse: cinq défaites pour commencer.
Depuis, Tariq Kirksay et Ronny Turiaf, puis Yakhouba Diawara et enfin Tony Parker sont venus renforcer l'ensemble. Résultat, les Bleus ont remporté quatre succès lors de leurs cinq derniers matches de préparation et Michel Gomez tient aujourd'hui une équipe bien mieux équilibrée. Il a surtout récupéré en Tony Parker un capitaine, une boussole et un animateur offensif de première classe. "Même s'il a manqué forcément un peu de temps à Tony pour s'adapter, on avait travaillé 2-3 systèmes pour lui avant qu'il arrive, et il n'y aura pas de problème d'intégration", assure Gomez.
Alors certes il n'y aura ni Boris Diaw, pourtant partant mais barré par les assureurs NBA, ni les Pietrus, ni tous les autres. Mais l'espoir est revenu. Un espoir également entretenu par le souvenir de la campagne de qualifications à l'Euro-2005. A l'époque, on prédisait déjà le pire à ce qui était appelé alors équipe de France C. Avant que celle-ci ne se qualifie brillamment et aille décrocher en Serbie la médaille de bronze.
A l'heure d'attaquer leur parcours qualificatif mercredi à Nancy face à la Belgique, l'enjeu est tout simplement énorme pour les Bleus, contraints aux travaux forcés après leur huitième place au dernier Championnat d'Europe qui ne les a non seulement privés de JO mais aussi acculés au bord du précipice. Soit ils sortent indemne de ce mois de septembre de tous les dangers qui les oppose en matches aller-retour à la Belgique, l'Ukraine et la Turquie. Soit ils peuvent faire une croix sur toute échéance internationale avant les qualifications à l'Euro... 2011. Et dire adieu au Mondial 2010, pour lequel le Championnat d'Europe polonais (7-20 septembre 2009) est un passage obligé.
Une nuit noire qui serait impensable pour la France et ses dix joueurs NBA, même si l'exemple de l'Italie, mal embarquée dans son groupe de qualifications, montre que le pire n'est jamais très loin. Pour éviter ce cauchemar, les Bleus devront terminer premiers de leur groupe ou être dans les trois meilleurs deuxièmes sur les quatre poules, sachant qu'une troisième place leur offrirait une ultime porte de sortie, en septembre prochain lorsqu'un dernier qualifié sera désigné. Valider son voyage pour la Pologne dès ce mois de septembre est a priori largement dans leurs cordes. La Belgique, privée du Madrilène Axel Hervelle et du pivot NBA Didier Mbenga, ou l'Ukraine n'ont pas à faire peur à une bonne équipe de France. Et même la Turquie n'a rien d'insurmontable, même si le match aller mercredi prochain à Istanbul s'annonce volcanique.
Sauve-qui-peut
Sauf que l'équipe de France n'a, contre son gré, pas mis toutes les chances de son côté lors d'un été qui a commencé sur l'air du "il faut sauver le soldat France" avant de se muer rapidement en un sauve-qui-peut assez impressionnant. Une quinzaine de joueurs majeurs ont ainsi déclaré forfait, laissant longtemps dubitatif quant aux chances de réussite de l'opération commando initiée par le sélectionneur Michel Gomez, parti à son premier stage à Vichy avec des joueurs exclusivement issus du Championnat de France. Les premiers matches amicaux n'ont rien fait pour calmer l'angoisse: cinq défaites pour commencer.
Depuis, Tariq Kirksay et Ronny Turiaf, puis Yakhouba Diawara et enfin Tony Parker sont venus renforcer l'ensemble. Résultat, les Bleus ont remporté quatre succès lors de leurs cinq derniers matches de préparation et Michel Gomez tient aujourd'hui une équipe bien mieux équilibrée. Il a surtout récupéré en Tony Parker un capitaine, une boussole et un animateur offensif de première classe. "Même s'il a manqué forcément un peu de temps à Tony pour s'adapter, on avait travaillé 2-3 systèmes pour lui avant qu'il arrive, et il n'y aura pas de problème d'intégration", assure Gomez.
Alors certes il n'y aura ni Boris Diaw, pourtant partant mais barré par les assureurs NBA, ni les Pietrus, ni tous les autres. Mais l'espoir est revenu. Un espoir également entretenu par le souvenir de la campagne de qualifications à l'Euro-2005. A l'époque, on prédisait déjà le pire à ce qui était appelé alors équipe de France C. Avant que celle-ci ne se qualifie brillamment et aille décrocher en Serbie la médaille de bronze.
Re: Qualif. Euro 2009 - Opération survie
MERCI bcp...
plata_gladiador- Moderateur
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Date d'inscription : 07/10/2008
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